En
Bretagne
Depuis
quelques jours déjà, on est tous les
4 en vacances pour faire un petit tour de la Bretagne
en voiture.
Le soir, on trouve un petit camping et on plante
les 2 tentes sur le même emplacement. Nous,
c'est à dire moi, Thierry, Matthieu et Véro
qui sortent ensemble depuis déjà 9
mois et enfin, Marion, une très bonne amie
qui se remet péniblement d'une rupture au
printemps.
Ces vacances d'été de 4 jeunes gens
de 20 ans environ se passent merveilleusement bien.
Matthieu et Véro partagent la même
tente, une canadienne 3 places assez grandes, alors
qu'avec Marion, on se partage une petite tente igloo
suffisamment grande. Depuis le début du séjour,
Marion me fait des avances, qui sans me laisser
de marbre, ne m'attirent pas plus que ça
: je m'entends trop bien avec Marion pour gâcher
ça pour une histoire qui risquerait de mal
tournée.
Marion est pourtant assez mignonne, brune, cheveux
frisés, un corps bien proportionné,
mais ... elle est plus grande que moi, et ça
me gène. Je sais, c'est stupide, mais bon,
c'est ainsi (la raison officieuse est peut être
que j'ai des visées sur une autre fille de
la fac...)
Bref, les premiers jours se sont bien passés
avec un jeu implicite où Marion me fait des
avances (avec la complicité de Véro)
et où je les repousse. Aujourd'hui, il a
fait assez chaud (oui, même en Bretagne...),
on a donc pris un petit bain dans une crique rocheuse
abritée de la cote. Jusque là, on
n'avait guère profité de la mer, vu
le froid qu'il faisait. Ce beau temps chaud est
donc une délivrance et on a passé
une partie de l'après midi dans la crique.
Petite baignade dans l'eau froide puis séchage
au soleil et bronzette.
Là, Véro a déroulé le
haut de maillot de bain 1 pièce pour se dégager
ses petits seins en poire et s'est étendue
sur le dos. J'avoue que la vue de ses seins m'a
un peu troublé, mais je ne l'ai pas laissé
paraître pour ne pas gêner Véro
ou Matthieu. Marion, voyant son amie faire, après
un petit temps d'hésitation, fait de même
et roule son maillot sur ses hanches libérant
ses jolis seins ronds aux bouts clairs. J'avoue
que la vision de ces seins ronds qui, si je le voulais,
pourraient être à moi me trouble et
fait vaciller ma conviction sur ma relation avec
Marion. Mais bon, fidèle à mes pensées,
je n'en laisse rien paraître.
Maintenant, la nuit est tombée. J'attends
en dehors de la tente que Marion se déshabille
et se couche. Mes pensées vont aux seins
vus cette après midi. Dire que si je voulais...
Mais, basta, je ne veux pas, j'en suis sûr.
Dans leur tente, Matthieu et Véro rigolent
un peu en se préparant pour la nuit. A vrai
dire, le camping est presque vide. On ne sera pas
dérangé par le bruit; demain étant
une journée calme d'après nos prévisions,
on va pouvoir traîner tranquillement au lit.
Au signal de Marion, j'entre dans la tente.
La soirée a été un peu arrosée
et surtout pleine de rires. Ca va être dur
de dormir dans ces conditions. Sur un prétexte
futile, Marion commence à me chamailler et
à simuler une bagarre. Je me défends
bien sur à coups de chatouilles. Le contact
du corps de Marion à travers son pyjama avec
les seins qui sont libres, ces seins que j'ai pu
voir et admirer cette après midi me fait
un petit effet. Et mes mains ont tendance à
chatouiller seulement le ventre, mais aussi à
rater (volontairement?) leur cible et à frôler
les seins.
Prenant conscience de mon jeu, Marion redevient
sérieuse rapidement et arrête la bagarre.
Le silence pesant envahit la tente. On se regarde
sans trop oser parler. Heureusement, un bruit de
l'extérieur va rompre le silence rapidement.
Ce bruit que l'on n'entendait pas précédemment
en raison de nos chamailleries ressemblent à
des halètements, mêlés de bruissement
de sacs de couchage. Personnellement, je n'ai guère
de doute sur leur nature, ni sur leur provenance
: Matthieu et Véro sont en train de faire
l'amour dans la tente contigüe. Vu la couleur
et le gène de Marion, je pense que nos pensées
sont les mêmes.
De pesante, l'atmosphère est en train de
devenir érotique dans la petite tente igloo.
Ma main revient sur le ventre de Marion, mais cette
fois, ce sont bien des caresses que je lui administre.
Très émue par ce premier contact,
elle me laisse faire sans réaction, sinon
un petit sourire coquin. En bruit de fond, on entend
toujours les halètements de plus en plus
fréquents et forts de Véro, ponctués
par des râlements rauques de Matthieu. Ils
ne doivent pas être loin de la jouissance.
Mes doigts s'aventurent vers le haut, à la
recherche des seins admirés cet après
midi. Discrètement, un ou deux se perdent
le long de l'ouverture de la veste de pyjama et
accrochent un puis deux boutons, libérant
ainsi un espace pour pénétrer au contact
de la peau. Elle frissonne au premier contact, mais
c'est là sa seule réaction. Sa peau
est chaude et assez rugueuse. Mes doigts remontent
toujours. Enfin, ils atteignent le bas des seins
blancs. Bien ronds et assez volumineux, je les sens
frémir à mon toucher.
Marion enfin, réagit et se tourne vers moi,
permettant ainsi l'ouverture de sa veste, ce qui
me permet de voir les globes bien ronds surmontés
de deux tétons assez longs. Mes doigts s'attardent
sur les petits bouts dressés. Marion, dans
le même temps, tend ses bras vers ma taille,
me serre et remonte mon tee-shirt, dévoilant
mon torse un peu poilu. Ses doigts parcourent mon
buste, caressant les petits poils. Ils descendent
jusqu'à l'élastique du pyjama, sous
lequel ils passent rapidement. Mon érection
est très nette à présent.
De mon coté, je continue à caresser
ses seins d'une main, l'autre étant plus
occupée à finir de déboutonner
sa veste de pyjama pour me permettre de découvrir
son buste entièrement nu. Nos corps se rapprochent.
A coté, on n'entend plus aucun bruit. Le
repos du guerrier? Les doigts de Marion frôlent
enfin ma bite dressée, caressant les poils
drus de mon sexe. Je gémis légèrement,
doucement connaissant par expérience comment
on entend de tels bruits dans les autres tentes...
Ma bouche s'approche de la sienne et on échange
un premier baiser long et romantique. Pendant que
nos langues s'emmêlent, ses doigts agrippent
ma bite bandée, la caressant sur toute sa
longueur. Mes doigts descendent à leur tour,
attrapent l'élastique du pantalon du pyjama
de Marion et le tire doucement vers le bas. Elle
accompagne le mouvement, aidant ainsi le pantalon
à passer le bassin puis les cuisses. Fesses
nues, elle frissonne, je jette un coup d'ņil discret,
gardant mes lèvres contre les siennes.
J'aperçois ses fesses blanches, rondes et
serrées; mais ne peux pas voir le devant...
Prenant l'initiative, je retire mon pyjashort et
me retrouve à mon tour cul nu. Me serrant
alors contre elle, je sens le contact de son pubis
contre mon sexe et mon ventre ; il a l'air très
poilu. En tout cas, très dense. Elle gémit
en sentant le contact de la peau de mon sexe contre
le sien. Mes mains reviennent et je lui prend les
fesses à pleines mains, les massant, les
caressant, les écartant. Ses gémissements
sont légèrement plus forts. Elle continue
ma masturbation en accélérant le mouvement,
quelques doigts se perdant parfois sur les bourses,
à mon plus grand plaisir. Elle écarte
ses cuisses quand ma main semble vouloir aller explorer
les replis de son entre-jambes.
A peine arrivé dans la zone, je sens la chaleur
moite de son sexe envahir ma main. Elle a l'air
d'apprécier le moment.
Mes doigts commencent à écarter légèrement
ses lèvres et à caresser les parois
trempées de son sexe. Un doigt s'occupe plus
particulièrement du petit bouton, et c'est
alors qu'elle pousse de petits cris mal maîtrisés.
Ma bouche se colle brusquement à la sienne
pour étouffer ces bruits qui pourraient attirer
des voyeurs. J'accélère mes mouvements
dans son sexe, sa respiration s'accélère
et rapidement, je la sens se détendre brusquement
et mes doigts sont inondés d'une abondante
liqueur. Je les porte à mes lèvres
pour goûter l'intimité de ma compagne.
Gênée par cette jouissance abondante,
elle me murmure :
-"C'était génial Thierry, je suis
si heureuse. Enfin, tu as bien voulu. Je serais
toujours tienne et répondrais à tes
désirs, mon Amour. Je suis si heureuse de
te posséder enfin"
La prenant au mot et sentant mon sexe se durcir
de plus en plus, j'appuie légèrement
sur ses épaules pour lui faire comprendre
ce que je veux.
- "Mais... tu sais, je n'ai jamais fait ça"
-"Quoi, ça? ma Chérie" -"Ben, ça..."
ajoute elle timidement, regardant mon sexe dressé.
 |
-"Allons, mon amour. Tu verras, c'est agréable
et très bon. Tu sais j'adore qu'on me le fasse.
Je ne peux pas m'en passer. Alors si on reste ensemble,
il faudra bien...".
A ces mots, elle se décide et glisse le long
de mon corps, jusqu'à ce que sa bouche arrive
à hauteur de mon sexe dressé. Timidement,
un peu maladroitement, elle le prend dans la bouche
le lèche un peu, caresse mes bourses. Rapidement,
le résultat se fait sentir et je sens mon excitation
devenir limite.
"Attention, ma chérie, ça va venir"
je lui murmure.
Mais semblant ne pas entendre mes paroles, elle continue
ses gestes maladroits mais si excitants. Et la libération
arrive.
Mon sperme jaillit enfin de mon sexe dur, inondant
sa bouche accueillante. Surprise par le goût
et la vigueur des jets, elle a un mouvement de recul
et mon sexe sort de sa bouche, finissant de vider
mes bourses sur son petit visage et le haut de son
buste.
Ce sperme qui coule le long de son menton quand elle
me regarde me rend ma vigueur rapidement.
"Alors, tu as aimé, ma chérie?"
"Oui, ça a un goût bizarre, mais c'est
bon. Et toi, tu as l'air d'avoir aimé?"
"Oui, mon, amour, beaucoup..."
Et je l'embrasse, léchant ses lèvres
recouvertes de foutre. On s'enlace enfin ,sans parler,
juste pensant à ces merveilleuses vacances
qui commencent. zJe me réveille quelques temps
plus tard. Le froid du petit matin sur mon corps nu.
Je regarde Marion qui dort sur le dos, nue également.
Ses seins écrasés sur son buste, son
minou brun tout poilu (je ne m'étais pas trompé).
Mais elle a gardé ses jambes serrées
et je ne peux voir plus. Ma bite se retend automatiquement
devant cette vue. Je la prend en main et commence
à me branler un peu. Son sommeil me stimule
et je ne relache pas mon attention, à l'affut
du moindre signe de réveil. Ma masturbation
s'accélère et brutalement, sans prévenir,
je gicle à nouveau un petit peu de mon jus
qui va s'étaler sur les seins et les ventre
de Marion. Le contact humide la réveille.
Que vais je faire? Que vais je dire?
Elle ouvre les yeux, constate les dégats. Puis
elle me sourit.
Ouf!! "C'est agréable comme réveil"
dit elle en souriant "Je te plais tant que ça?"
"Heu, j'avoue oui, te voir nue comme ça me
fait terriblement d'effet"
"Et que préferes tu chez moi? Mes seins ronds
et un peu gros? Mon sexe poilu? Mon ventre plat? Mes
fesses rondes mais fermes?"
"Ben, un peu tout je crois".
Elle sourit d'autant plus et se lève pour tendre
la bouche vers ma bite. Elle l'enfourne en gémissant
un peu. Sa main se dirige vers son minou qui apparaît
plus nettement depuis qu'elle a écarté
les jambes. Je la regarde faire.
Sa fellation est mieux réussi que celle plus
tot dans la nuit. La regarder se masturber en même
temps, sortir son petit clito, enfoncer son petit
doigt, est encore plus excitant. Elle retire sa bouche
alors que je sens que la sève n'est plus très
loin de monter et murmure :
"Fais moi l'amour, j'ai très envie".
Sans attendre, je me place entre ses jambes et après
avoir chercher quelques instants sa petite fente,
j'y enfonce mon engin doucement, sans acoups dans
le conduit particulierement lubrifié. Elle
pousse un petit cri en me sentant pénétrer.
Mes mains posées sur ses hanches remontent
vers ses seins très sensibles. Je lui donne
des petits coups, la pénétrant à
fond. Elle est encore assez étroite et surtout
terriblement moite.
Elle gémit à présent de plus
en plus fort. Moi également pris dans le flot
du plaisir. Les mouvements s'accélèrent,
elle y répond e nbougeant ses hanches. Je sens
le plaisir monté, mais c'est elle qui explose
la première, contractant tous ses muscles,
poussant un petit rale de plaisir.
Mon sexe, inondé de son plaisir et serré
dans son écrin moite, ne peut plus tenir et
finit par exploser à son tour. Je la rejoints
dans un rale commun assez grave. Je m'écroule
de plaisir sur elle, écrasant ses seins contre
ma poitrine chaude. Nos langues se cherchent, se trouvent,
s'emmellent. Quel plaisir intense! Et quel silence
dans cette nuit... Enfin, presque silence puisque
des petits bruits, sorte de petits rires nous parviennent
de la tente voisine. Les coquins ont du remettre ça.
Mais... Serait ce nous qui les avons reveillés?
Pour savoir ce qu'ils savent et ce qu'ils ont entendu,
on décide de faire comme si de rien n'était
demain et de continuer à se comporter comme
"avant".
On se rendort un peu, le temps de jumeler nos deux
sacs de couchage et de se blottir l'un contre l'autre,
les 2 corps nus. zLe fin de la nuit fut calme. Les
premiers rayons de soleil nous tirent du lit et toujours
enlacés, après quelques bisoux fougueux,
nous décidons de nous lever et de tout mettre
en ordre pour que Véro et Matthieu ne se doutent
de rien. Les duvets en ordre, quelques caresses sur
nos corps nus pour apaiser notre désir et hop,
debout, prêts pour une nouvelle journée.
Petit déjeuner pris tous les 2 puis on part
faire notre toilette au bloc sanitaire. Séparément
pour ne pas éveiller de soupçons. zJe
reviens le premier vers la tente. Matthieu et Véro
viennent visiblement tout juste d'émerger.
Matthieu m'accueille avec un sourire en coin
"Alors, la nuit fut bonne?".
Je crois qu'ils ont bel et bien entendu ce qu'il s'est
passé cette nuit. Mais innocent :
"Oui, très bonne. J'ai dormi comme un loir.
La baignade d'hier m'avait vanné."
Les sourires entendus que s'échangent Véro
et Matthieu continuent de me persuader que nous avons
fait trop de bruit cette nuit. Marion arrive enfin,
vétue d'un short assez court et d'un tshirt
blanc qui met bien en valeur ses seins. Elle nous
sourit
"Bien dormis?"
"Oui, et toi? la nuit fut bonne; non?" demande Véro
avec un air complice.
Conformément à nos accords, Marion répond
le même type de réponse ambiguĨ que j'avais
donné un peu plus tôt. Mais leur sourire
ne laisse pas de doute : ils nous ont vus... zAlors
qu'ils sont partis faire leur toilette, on se retrouve
tous les 2, Marion et moi.
"Tu crois qu'ils savent'" me demande t elle.
"J'en suis presque sûr. En tout cas, s'ils ont
des doutes, ils ne doivent pas être gros. Mais
laissons les mariner un peu... Ca peut être
amusant, non?"
Elle fait un peu la moue.
"Qu'est ce qui ne va pas ma Chérie?"
"Ben, j'aimerais t'aimer la journée aussi.
T'embrasser, sentir ton corps près du mien..."
"Promis ma chérie, ce soir on leur dit."
Et pour la faire patienter, je la serre dans mes bras
en caressant ses fesses bien moulées. Elle
frissonne. zLa journée se déroule bien,
les sous entendus de Véro et Matthieu se mélangeant
à nos réponses naïves. Mais le
temps se fait menaçant. Et juste après
le repas du soir, les premières gouttes tombent.
Zut, la soirée est à l'eau. On se réfugie
dans la canadienne qui est assez grande pour nous
contenir tous les 4. Matthieu et Véro se mettent
à droite, Matthieu assis au fond et Véro
légèrement couchée sur ses jambes.
Marion et moi nous asseyons sagement côte à
côte. La conversation reprend bon train sur
le thème où on l'avait laissé.
Puis Véro, d'un bond se relève et demande
"Bon, Marion, alors..."
"Alors quoi?"
"Allez avoue, on t'a entendu cette nuit. Ca avait
l'air de bien se passer..."
Marion rougit.
"Vous nous avez entendus ?" je demande.
Matthieu prend la parole
"Vu le boucan que vous avez fait à 4h c'était
dûr de ne pas vous entendre"
moi :"Vous pouvez parler, hier soir..."
"Tu nous as entendu? pourtant on a fait attention"
répond Véro rougissant à son
tour. Matthieu d'un sourire entendu "C'est ce qui
vous a donné envie?" Je regarde Marion.
C'est un peu vrai ce que dit Matthieu. Sans eux...
Mais c'est un peu difficile à avouer.
Marion ne sait quoi répondre non plus.
"Allez, OK, j'ai compris. Vous nous avez entendu.
Ca vous a excité et vous vous êtes dit
pourquoi pas nous?
Mais vous avez bien fait" reprend Matthieu pour rompre
le silence.
Marion s'est rapprochée de moi et mis sa tête
sur mon épaule. Je sens ses cheveux frisés
dans mon cou, son parfum se diffuse. Malgré
la situation embarassante, je commence à bander
un peu
"Bon, c'est vrai, je crois que sans vous, on n'en
serait pas là. Vos bruits nous ont bien aidé.
Mais ils n'étaient pas volontaires quand même?"
Matthieu regarde Véro puis ajoute un peu timidement
"En fait, depuis le début, on n'avait pas faitl'amour
de peur du bruit. Mais là, on ne tenait plus
et on s'est jeté. En rigolant, on s'est dit
que si vous entendiez ça, ça vous stimulerait
peut être"
"Pas raté"
"Mais j'avoue que ça nous a plu de savoir qu'on
pouvait être entendu de l'extérieur.
Au début, ça fait bizarre, mais après,
c'était plus excitant.".
On se regarde tous les uns après les autres.
Matthieu caresse la poitrine de Véro à
travers son pull. Marion descend de plus en plus pour
finir la tête sur mes cuisses.
Je tends la main et commence à masser sa poitrine
ferme à travers son chemisier. Je regarde Matthieu.
Sa main est passé sous le pull de Véro
et je devine qu'il essaye de passer sous le soutin
gorge. Je déboutonne un bouton du chemisier
de Marion pour passer ma main dedans et toucher la
peau de son sein qui dépasse du bonnet. Discrètement,
un doigt va explorer au dessus du soutien gorge pour
voir si ses tétons bandent.
Pas de problème, la situation l'excite. Doucement,
Matthieu est en train de remonter le pull de Véro,
dévoilant son ventre nu. Je sens mon sexe grossir
dans mon jean. La situation commence à devenir
agréable. Il dévoile son soutien gorge
en dentelle blanche qui protège les petits
seins de sa copine. Personne n'est vraiment gêné
par la situation. Je déboutonne un peu plus
le chemisier de Marion pour l'ouvrir complètement
dévoilant ainsi ses seins qui remplissent bien
un soutien gorge à balconnets en coton rose.
Ses tétons pointent à travers l'étoffe.
Matthieu à son tour, dévoile le buste
quasiment nu de Véro en retirant le pull de
son amie. Un petit passage dans le dos et les 2 soutifs
tombent en même temps dévoilant des poitrines
fort différentes. Déjà que sur
la plage j'avais été troublé
par les seins de Véro, là, l'érotisme
de la situation aidant, je bande très fort.
Marion sent mon excitation et me glisse à l'oreille
:
"Tu veux que je te libère un peu, mon Amour?"
Sans attendre ma réponse, elle pose une main
sur mon jean et commence à ouvrir les boutons
dévoilant mon slip gonflé. Elle baisse
doucement mon petit slip et dégage mon sexe
gonflé. Véro le fixe avec attention
provoquant la jalousie de Matthieu qui retire le sien
rapidement.
 |
Les 2 filles prennent chacune le sexe de leur amant
en main en le caressant doucement.
Matthieu caresse doucement les seins de Véro
alors que personnellement, je commence à déboutonner
le pantalon de Marion et à le faire glisser,
dévoilant ainsi sa petite culotte blanche.
Elle finit de son côté à me déshabiller
et nous nous retrouvons tous les 2 nus, Marion ne
possédant plus que sa petite culotte qui ne
cache rien de ses fesses serrées. Je caresse
ses cuisses, ses fesses, ma main glisse doucement
entre ses cuisses qui s'écartent au passage
me laissant rencontrer la moiteur de son entre cuisse.
Visiblement, la situation lui plait.
A côté de nous, Véro commence
à se baisser et enbouche la queue de Matthieu
profondément. Je continues à carresser
la fente de Marion à travers l'étoffe
déjà moite. Je sens ses lèvres
s'ouvrir, mon doigt pénètre dans le
vagin entrainant avec lui le tissu qui pénètre
un peu et se mouille beaucoup. Marion gémit
accompagnant ainsi les rales de Matthieu.
Les caresses bucales de Véro font rapidement
leur effet et je sens que Matthieu est proche de l'excitation
finale. Pour accélerer les choses, j'écarte
la culotte de Marion, dévoilant ainsi son sexe
trempé et poilu. Voyant ça, Matthieu
gémit encore plus fort et repousse Véro.
"Non, je veux pas jouir si vite" crie t il.
Peine perdue, le sperme arrive et le premier jet atteint
les seins de Véro puis dégouline sur
le ventre. Deux autres jets violents se produisent
arrosant le visage de Véro et son cou. Puis
le flot s'ammenuise un peu, dégoulinant simplement
sur le tuyau de Matthieu. Voir ainsi Véro souillée
nous met tous les 2 dans un état d'excitation
avancé et on accélère le mouvement
de nos doigts sur le sexe de l'autre. Matthieu s'écrie
alors :"Vite, Véro, enlève ton pantalon,
ça va le tacher" Effectivement le sperme arrive
dangeureusement vers la ceinture. Véro retire
donc rapidement son pantalon et apparaît en
petite culotte en dentelle.
Le sperme atteint rapidement la culotte, mais visiblement,
ça ne la gène pas. De grandes traces
blanches sillonnent son ventre, son cou, ses seins.
Elle essaye d'en lécher sur le visage. Marion
me regarde et me murmure "Tu sais, cette nuit, après
ce qu'on a fait, j'ai gouté le sperme qu'il
y avait sur mon ventre. Je crois que j'y prends goût".
Je lui souris, enfonçant viollement un doigt
dans sa fente trempée. Je retire parallèlement
sa culotte que je mets entre Matthieu et nous. Comme
une invitation. Matthieu, l'ayant compris comme ça,
s'en saisit et la porte à sa figure, la sentant.
Marion est très génée, mais mes
doigts dans son sexe se chargent de la rappeller à
son plaisir. Je la sens proche de l'orgasme d'ailleurs.
Sous l'effet de la culotte, le sexe de Matthieu retrouve
rapidement sa rigidité.
Marion gémit de plus en plus sous mes doigts,
je sens les contractions de son vagin et sa mouille
qui dégouline le long des mes doigts.
Ses gémissements remplissent la tente. Heureusement
que nous sommes quasiment seuls dans ce camping! Mon
gland rouge commence à luire et ma bite gonfle
toujours plus. Matthieu de nouveau d'attaque finit
de déshabiller son amie et nous dévoile
ainsi sa chatte dont les poils chatains ont été
visiblement taillés et épilés
dans certaines zones. Après avoir caressé
l'entrejambede Véro, il sourit triomphant.
"Le sperme te plait, mon amour, tu es trempée."
Véro hésite entre le sourire et la honte,
mais voyant que nous ne sommes choqués du tout
par l'affirmation de son amant, elle sourit et repond
tendrement à Matthieu qu'il sait très
bien que son foutre la fait chavirer. Soudainement,
je renverse Marion sur le dos. Surprise elle pousse
un petit cri mais se retrouve sur le dos, les jambes
en l'air. Juste le passage pour que je puisse m'y
glisser et commencer à approcher mon sexe de
son minou poisseux de plaisir. La pénétration
se fait d'ailleurs très facilement dans le
conduit étroit mais lubrifié. Voyant
ça, Matthieu prend Véro à son
tour en levrette, la figure de Véro n'étant
qu'à quelques centimètres des hanches
de Marion.
Je sens même son souffle sur ma main lorsqu'elle
gémit, ses petits seins ballottant sous elle.
Cette vue m'excite encore plus et j'accélère
provoquant très rapidement l'orgasme de Marion,
dont les muscles se tendent et dont la jouissance
trempe mon sexe conquérant. Excité par
ce flot parcourant mon sexe, j'active de plus bel
mon pistonage et rapidement, je sens le jus monté
dans mon sexe.
Me souvenant des paroles de Marion lors de l'éjaculation
de Matthieu, je me retire du sexe humide et gicle
abondamment sur le ventre, les seins et la figure
de ma nouvelle petite amie, arrosant aussi bien ses
cheveux frisés que ses poils bruns du pubis.
Rapidement, elle reprend ses esprits et commence à
lécher le nectar sur son visage, près
de ses lèvres rouges. Matthieu et Véro
ne sont pas loin non plus de la jouissance et Matthieu
se retire à son tour et s'approche de Marion
- "J'ai entendu ce que tu disais à Thierry
tout à l'heure. Je vais t'en donner plus"
Et il finit par gicler sur sa figure, sur ses seins
et finalement sur sa chatte des jets d'une incroyable
précision, seul le dernier débordant
un peu sur ses cuisses blanches. Les deux foutres
ainsi mélangés sur son corps, Marion
est aux anges. Mais Véro est moins heureuse
d'avoir été spoliée de sa dose
de foutre et demande réparation. Sans se dégonfler,
Matthieu lui propose de le prendre sur le corps de
Marion pour l'aider à tout récupérer.
Aussi bien Véro que Marion semblent surprises
par cette proposition nouvelle pour elles, mais Véro
s'agenouille au dessus de Marion et commence à
lécher le sperme sur son ventre.
Petit à petit, s'habituant au goût et
au geste, elle descend et atteint les poils pubiens,
qu'après un temps d'hésitation, elle
comence à nettoyer. Les longs poils bruns de
Marion ont bien reçu le sperme et il a pénétré
parfois profond dans la toison. Véro n'hésite
pas à enfoncer sa langue loin dans la toison
pour en retirer du sperme. Mais au moment de nettoyer
plus bas, elle hésite et se relève en
disant qu'elle ne veut pas aller plus loin. Marion
fait un peu la moue mais finit d'ingurgiter le sperme
qui restait sur ses seins. La fatigue se fait sentir
et d'un commun accord, on décide de rejoindre
notre tente pour dormir un peu. Après avoir
fini de nettoyer Marion du sperme qu'il restait (en
particulier, là où Véro ne voulait
pas aller), on s'endort, nus, heureux...
Malheureusement, les jours suivants, le sort n'est
guère favorable à des ébats collectifs.
Les campings sont soit petits, soit bien remplis.
Et on approche de la fin du séjour, un peu
frustré de ne pas avoir pu renouveler l'expérience.
Dans moins d'une semaine, on doit rentrer. En plus,
la météo est plus que maussade et les
infos n'annoncent pas d'amélioration. Bref,
le moral est bas dans le groupe. Un matin, dans un
camping toujours aussi plein, après une nuit
où Marion et moi n'avons pu qu'échanger
quelques caresses, Marion prend la parole :
-"Bon, y en marre de ce temps, de ces campings où
on ne peut rien faire sans que les voisins le sachent.
Je vous propose de rentrer chez nous."
Pas d'enthousiasme débordant sur les visages
des 2 autres.
-"Enfin, rentrer chez moi. Mes parents sont en vacances
encore 3 semaines et la maison est libre. On sera
mieux là bas, non? " ajoute t elle avec un
petit sourire coquin. Cette fois, l'accord est unanime,
chacun à ses fantasmes. |