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En Bretagne

Depuis quelques jours déjà, on est tous les 4 en vacances pour faire un petit tour de la Bretagne en voiture.
Le soir, on trouve un petit camping et on plante les 2 tentes sur le même emplacement. Nous, c'est à dire moi, Thierry, Matthieu et Véro qui sortent ensemble depuis déjà 9 mois et enfin, Marion, une très bonne amie qui se remet péniblement d'une rupture au printemps.
Ces vacances d'été de 4 jeunes gens de 20 ans environ se passent merveilleusement bien. Matthieu et Véro partagent la même tente, une canadienne 3 places assez grandes, alors qu'avec Marion, on se partage une petite tente igloo suffisamment grande. Depuis le début du séjour, Marion me fait des avances, qui sans me laisser de marbre, ne m'attirent pas plus que ça : je m'entends trop bien avec Marion pour gâcher ça pour une histoire qui risquerait de mal tournée.
Marion est pourtant assez mignonne, brune, cheveux frisés, un corps bien proportionné, mais ... elle est plus grande que moi, et ça me gène. Je sais, c'est stupide, mais bon, c'est ainsi (la raison officieuse est peut être que j'ai des visées sur une autre fille de la fac...)
Bref, les premiers jours se sont bien passés avec un jeu implicite où Marion me fait des avances (avec la complicité de Véro) et où je les repousse. Aujourd'hui, il a fait assez chaud (oui, même en Bretagne...), on a donc pris un petit bain dans une crique rocheuse abritée de la cote. Jusque là, on n'avait guère profité de la mer, vu le froid qu'il faisait. Ce beau temps chaud est donc une délivrance et on a passé une partie de l'après midi dans la crique. Petite baignade dans l'eau froide puis séchage au soleil et bronzette.
Là, Véro a déroulé le haut de maillot de bain 1 pièce pour se dégager ses petits seins en poire et s'est étendue sur le dos. J'avoue que la vue de ses seins m'a un peu troublé, mais je ne l'ai pas laissé paraître pour ne pas gêner Véro ou Matthieu. Marion, voyant son amie faire, après un petit temps d'hésitation, fait de même et roule son maillot sur ses hanches libérant ses jolis seins ronds aux bouts clairs. J'avoue que la vision de ces seins ronds qui, si je le voulais, pourraient être à moi me trouble et fait vaciller ma conviction sur ma relation avec Marion. Mais bon, fidèle à mes pensées, je n'en laisse rien paraître.
Maintenant, la nuit est tombée. J'attends en dehors de la tente que Marion se déshabille et se couche. Mes pensées vont aux seins vus cette après midi. Dire que si je voulais... Mais, basta, je ne veux pas, j'en suis sûr. Dans leur tente, Matthieu et Véro rigolent un peu en se préparant pour la nuit. A vrai dire, le camping est presque vide. On ne sera pas dérangé par le bruit; demain étant une journée calme d'après nos prévisions, on va pouvoir traîner tranquillement au lit. Au signal de Marion, j'entre dans la tente.
La soirée a été un peu arrosée et surtout pleine de rires. Ca va être dur de dormir dans ces conditions. Sur un prétexte futile, Marion commence à me chamailler et à simuler une bagarre. Je me défends bien sur à coups de chatouilles. Le contact du corps de Marion à travers son pyjama avec les seins qui sont libres, ces seins que j'ai pu voir et admirer cette après midi me fait un petit effet. Et mes mains ont tendance à chatouiller seulement le ventre, mais aussi à rater (volontairement?) leur cible et à frôler les seins.
Prenant conscience de mon jeu, Marion redevient sérieuse rapidement et arrête la bagarre. Le silence pesant envahit la tente. On se regarde sans trop oser parler. Heureusement, un bruit de l'extérieur va rompre le silence rapidement. Ce bruit que l'on n'entendait pas précédemment en raison de nos chamailleries ressemblent à des halètements, mêlés de bruissement de sacs de couchage. Personnellement, je n'ai guère de doute sur leur nature, ni sur leur provenance : Matthieu et Véro sont en train de faire l'amour dans la tente contigüe. Vu la couleur et le gène de Marion, je pense que nos pensées sont les mêmes.
De pesante, l'atmosphère est en train de devenir érotique dans la petite tente igloo. Ma main revient sur le ventre de Marion, mais cette fois, ce sont bien des caresses que je lui administre.
Très émue par ce premier contact, elle me laisse faire sans réaction, sinon un petit sourire coquin. En bruit de fond, on entend toujours les halètements de plus en plus fréquents et forts de Véro, ponctués par des râlements rauques de Matthieu. Ils ne doivent pas être loin de la jouissance.
Mes doigts s'aventurent vers le haut, à la recherche des seins admirés cet après midi. Discrètement, un ou deux se perdent le long de l'ouverture de la veste de pyjama et accrochent un puis deux boutons, libérant ainsi un espace pour pénétrer au contact de la peau. Elle frissonne au premier contact, mais c'est là sa seule réaction. Sa peau est chaude et assez rugueuse. Mes doigts remontent toujours. Enfin, ils atteignent le bas des seins blancs. Bien ronds et assez volumineux, je les sens frémir à mon toucher.
Marion enfin, réagit et se tourne vers moi, permettant ainsi l'ouverture de sa veste, ce qui me permet de voir les globes bien ronds surmontés de deux tétons assez longs. Mes doigts s'attardent sur les petits bouts dressés. Marion, dans le même temps, tend ses bras vers ma taille, me serre et remonte mon tee-shirt, dévoilant mon torse un peu poilu. Ses doigts parcourent mon buste, caressant les petits poils. Ils descendent jusqu'à l'élastique du pyjama, sous lequel ils passent rapidement. Mon érection est très nette à présent.
De mon coté, je continue à caresser ses seins d'une main, l'autre étant plus occupée à finir de déboutonner sa veste de pyjama pour me permettre de découvrir son buste entièrement nu. Nos corps se rapprochent. A coté, on n'entend plus aucun bruit. Le repos du guerrier? Les doigts de Marion frôlent enfin ma bite dressée, caressant les poils drus de mon sexe. Je gémis légèrement, doucement connaissant par expérience comment on entend de tels bruits dans les autres tentes...
Ma bouche s'approche de la sienne et on échange un premier baiser long et romantique. Pendant que nos langues s'emmêlent, ses doigts agrippent ma bite bandée, la caressant sur toute sa longueur. Mes doigts descendent à leur tour, attrapent l'élastique du pantalon du pyjama de Marion et le tire doucement vers le bas. Elle accompagne le mouvement, aidant ainsi le pantalon à passer le bassin puis les cuisses. Fesses nues, elle frissonne, je jette un coup d'ņil discret, gardant mes lèvres contre les siennes.
J'aperçois ses fesses blanches, rondes et serrées; mais ne peux pas voir le devant... Prenant l'initiative, je retire mon pyjashort et me retrouve à mon tour cul nu. Me serrant alors contre elle, je sens le contact de son pubis contre mon sexe et mon ventre ; il a l'air très poilu. En tout cas, très dense. Elle gémit en sentant le contact de la peau de mon sexe contre le sien. Mes mains reviennent et je lui prend les fesses à pleines mains, les massant, les caressant, les écartant. Ses gémissements sont légèrement plus forts. Elle continue ma masturbation en accélérant le mouvement, quelques doigts se perdant parfois sur les bourses, à mon plus grand plaisir. Elle écarte ses cuisses quand ma main semble vouloir aller explorer les replis de son entre-jambes.
A peine arrivé dans la zone, je sens la chaleur moite de son sexe envahir ma main. Elle a l'air d'apprécier le moment.
Mes doigts commencent à écarter légèrement ses lèvres et à caresser les parois trempées de son sexe. Un doigt s'occupe plus particulièrement du petit bouton, et c'est alors qu'elle pousse de petits cris mal maîtrisés. Ma bouche se colle brusquement à la sienne pour étouffer ces bruits qui pourraient attirer des voyeurs. J'accélère mes mouvements dans son sexe, sa respiration s'accélère et rapidement, je la sens se détendre brusquement et mes doigts sont inondés d'une abondante liqueur. Je les porte à mes lèvres pour goûter l'intimité de ma compagne. Gênée par cette jouissance abondante, elle me murmure :
-"C'était génial Thierry, je suis si heureuse. Enfin, tu as bien voulu. Je serais toujours tienne et répondrais à tes désirs, mon Amour. Je suis si heureuse de te posséder enfin"
La prenant au mot et sentant mon sexe se durcir de plus en plus, j'appuie légèrement sur ses épaules pour lui faire comprendre ce que je veux.
- "Mais... tu sais, je n'ai jamais fait ça"
-"Quoi, ça? ma Chérie" -"Ben, ça..." ajoute elle timidement, regardant mon sexe dressé.


-"Allons, mon amour. Tu verras, c'est agréable et très bon. Tu sais j'adore qu'on me le fasse. Je ne peux pas m'en passer. Alors si on reste ensemble, il faudra bien...".
A ces mots, elle se décide et glisse le long de mon corps, jusqu'à ce que sa bouche arrive à hauteur de mon sexe dressé. Timidement, un peu maladroitement, elle le prend dans la bouche le lèche un peu, caresse mes bourses. Rapidement, le résultat se fait sentir et je sens mon excitation devenir limite.
"Attention, ma chérie, ça va venir" je lui murmure.
Mais semblant ne pas entendre mes paroles, elle continue ses gestes maladroits mais si excitants. Et la libération arrive.
Mon sperme jaillit enfin de mon sexe dur, inondant sa bouche accueillante. Surprise par le goût et la vigueur des jets, elle a un mouvement de recul et mon sexe sort de sa bouche, finissant de vider mes bourses sur son petit visage et le haut de son buste.
Ce sperme qui coule le long de son menton quand elle me regarde me rend ma vigueur rapidement.
"Alors, tu as aimé, ma chérie?"
"Oui, ça a un goût bizarre, mais c'est bon. Et toi, tu as l'air d'avoir aimé?"
"Oui, mon, amour, beaucoup..."
Et je l'embrasse, léchant ses lèvres recouvertes de foutre. On s'enlace enfin ,sans parler, juste pensant à ces merveilleuses vacances qui commencent. zJe me réveille quelques temps plus tard. Le froid du petit matin sur mon corps nu. Je regarde Marion qui dort sur le dos, nue également. Ses seins écrasés sur son buste, son minou brun tout poilu (je ne m'étais pas trompé).
Mais elle a gardé ses jambes serrées et je ne peux voir plus. Ma bite se retend automatiquement devant cette vue. Je la prend en main et commence à me branler un peu. Son sommeil me stimule et je ne relache pas mon attention, à l'affut du moindre signe de réveil. Ma masturbation s'accélère et brutalement, sans prévenir, je gicle à nouveau un petit peu de mon jus qui va s'étaler sur les seins et les ventre de Marion. Le contact humide la réveille.
Que vais je faire? Que vais je dire?
Elle ouvre les yeux, constate les dégats. Puis elle me sourit.
Ouf!! "C'est agréable comme réveil" dit elle en souriant "Je te plais tant que ça?"
"Heu, j'avoue oui, te voir nue comme ça me fait terriblement d'effet"
"Et que préferes tu chez moi? Mes seins ronds et un peu gros? Mon sexe poilu? Mon ventre plat? Mes fesses rondes mais fermes?"
"Ben, un peu tout je crois".
Elle sourit d'autant plus et se lève pour tendre la bouche vers ma bite. Elle l'enfourne en gémissant un peu. Sa main se dirige vers son minou qui apparaît plus nettement depuis qu'elle a écarté les jambes. Je la regarde faire.
Sa fellation est mieux réussi que celle plus tot dans la nuit. La regarder se masturber en même temps, sortir son petit clito, enfoncer son petit doigt, est encore plus excitant. Elle retire sa bouche alors que je sens que la sève n'est plus très loin de monter et murmure :
"Fais moi l'amour, j'ai très envie".
Sans attendre, je me place entre ses jambes et après avoir chercher quelques instants sa petite fente, j'y enfonce mon engin doucement, sans acoups dans le conduit particulierement lubrifié. Elle pousse un petit cri en me sentant pénétrer. Mes mains posées sur ses hanches remontent vers ses seins très sensibles. Je lui donne des petits coups, la pénétrant à fond. Elle est encore assez étroite et surtout terriblement moite.
Elle gémit à présent de plus en plus fort. Moi également pris dans le flot du plaisir. Les mouvements s'accélèrent, elle y répond e nbougeant ses hanches. Je sens le plaisir monté, mais c'est elle qui explose la première, contractant tous ses muscles, poussant un petit rale de plaisir.

Mon sexe, inondé de son plaisir et serré dans son écrin moite, ne peut plus tenir et finit par exploser à son tour. Je la rejoints dans un rale commun assez grave. Je m'écroule de plaisir sur elle, écrasant ses seins contre ma poitrine chaude. Nos langues se cherchent, se trouvent, s'emmellent. Quel plaisir intense! Et quel silence dans cette nuit... Enfin, presque silence puisque des petits bruits, sorte de petits rires nous parviennent de la tente voisine. Les coquins ont du remettre ça. Mais... Serait ce nous qui les avons reveillés? Pour savoir ce qu'ils savent et ce qu'ils ont entendu, on décide de faire comme si de rien n'était demain et de continuer à se comporter comme "avant".
On se rendort un peu, le temps de jumeler nos deux sacs de couchage et de se blottir l'un contre l'autre, les 2 corps nus. zLe fin de la nuit fut calme. Les premiers rayons de soleil nous tirent du lit et toujours enlacés, après quelques bisoux fougueux, nous décidons de nous lever et de tout mettre en ordre pour que Véro et Matthieu ne se doutent de rien. Les duvets en ordre, quelques caresses sur nos corps nus pour apaiser notre désir et hop, debout, prêts pour une nouvelle journée. Petit déjeuner pris tous les 2 puis on part faire notre toilette au bloc sanitaire. Séparément pour ne pas éveiller de soupçons. zJe reviens le premier vers la tente. Matthieu et Véro viennent visiblement tout juste d'émerger. Matthieu m'accueille avec un sourire en coin
"Alors, la nuit fut bonne?".
Je crois qu'ils ont bel et bien entendu ce qu'il s'est passé cette nuit. Mais innocent :
"Oui, très bonne. J'ai dormi comme un loir. La baignade d'hier m'avait vanné."
Les sourires entendus que s'échangent Véro et Matthieu continuent de me persuader que nous avons fait trop de bruit cette nuit. Marion arrive enfin, vétue d'un short assez court et d'un tshirt blanc qui met bien en valeur ses seins. Elle nous sourit
"Bien dormis?"
"Oui, et toi? la nuit fut bonne; non?" demande Véro avec un air complice.
Conformément à nos accords, Marion répond le même type de réponse ambiguĨ que j'avais donné un peu plus tôt. Mais leur sourire ne laisse pas de doute : ils nous ont vus... zAlors qu'ils sont partis faire leur toilette, on se retrouve tous les 2, Marion et moi.
"Tu crois qu'ils savent'" me demande t elle.
"J'en suis presque sûr. En tout cas, s'ils ont des doutes, ils ne doivent pas être gros. Mais laissons les mariner un peu... Ca peut être amusant, non?"
Elle fait un peu la moue.
"Qu'est ce qui ne va pas ma Chérie?"
"Ben, j'aimerais t'aimer la journée aussi. T'embrasser, sentir ton corps près du mien..."
"Promis ma chérie, ce soir on leur dit."
Et pour la faire patienter, je la serre dans mes bras en caressant ses fesses bien moulées. Elle frissonne. zLa journée se déroule bien, les sous entendus de Véro et Matthieu se mélangeant à nos réponses naïves. Mais le temps se fait menaçant. Et juste après le repas du soir, les premières gouttes tombent. Zut, la soirée est à l'eau. On se réfugie dans la canadienne qui est assez grande pour nous contenir tous les 4. Matthieu et Véro se mettent à droite, Matthieu assis au fond et Véro légèrement couchée sur ses jambes.
Marion et moi nous asseyons sagement côte à côte. La conversation reprend bon train sur le thème où on l'avait laissé. Puis Véro, d'un bond se relève et demande
"Bon, Marion, alors..."
"Alors quoi?"
"Allez avoue, on t'a entendu cette nuit. Ca avait l'air de bien se passer..."
Marion rougit.
"Vous nous avez entendus ?" je demande.
Matthieu prend la parole
"Vu le boucan que vous avez fait à 4h c'était dûr de ne pas vous entendre"
moi :"Vous pouvez parler, hier soir..."
"Tu nous as entendu? pourtant on a fait attention" répond Véro rougissant à son tour. Matthieu d'un sourire entendu "C'est ce qui vous a donné envie?" Je regarde Marion.
C'est un peu vrai ce que dit Matthieu. Sans eux... Mais c'est un peu difficile à avouer.
Marion ne sait quoi répondre non plus.
"Allez, OK, j'ai compris. Vous nous avez entendu. Ca vous a excité et vous vous êtes dit pourquoi pas nous?
Mais vous avez bien fait" reprend Matthieu pour rompre le silence.
Marion s'est rapprochée de moi et mis sa tête sur mon épaule. Je sens ses cheveux frisés dans mon cou, son parfum se diffuse. Malgré la situation embarassante, je commence à bander un peu
"Bon, c'est vrai, je crois que sans vous, on n'en serait pas là. Vos bruits nous ont bien aidé. Mais ils n'étaient pas volontaires quand même?"
Matthieu regarde Véro puis ajoute un peu timidement
"En fait, depuis le début, on n'avait pas faitl'amour de peur du bruit. Mais là, on ne tenait plus et on s'est jeté. En rigolant, on s'est dit que si vous entendiez ça, ça vous stimulerait peut être"
"Pas raté"
"Mais j'avoue que ça nous a plu de savoir qu'on pouvait être entendu de l'extérieur. Au début, ça fait bizarre, mais après, c'était plus excitant.".
On se regarde tous les uns après les autres. Matthieu caresse la poitrine de Véro à travers son pull. Marion descend de plus en plus pour finir la tête sur mes cuisses.
Je tends la main et commence à masser sa poitrine ferme à travers son chemisier. Je regarde Matthieu. Sa main est passé sous le pull de Véro et je devine qu'il essaye de passer sous le soutin gorge. Je déboutonne un bouton du chemisier de Marion pour passer ma main dedans et toucher la peau de son sein qui dépasse du bonnet. Discrètement, un doigt va explorer au dessus du soutien gorge pour voir si ses tétons bandent.
Pas de problème, la situation l'excite. Doucement, Matthieu est en train de remonter le pull de Véro, dévoilant son ventre nu. Je sens mon sexe grossir dans mon jean. La situation commence à devenir agréable. Il dévoile son soutien gorge en dentelle blanche qui protège les petits seins de sa copine. Personne n'est vraiment gêné par la situation. Je déboutonne un peu plus le chemisier de Marion pour l'ouvrir complètement dévoilant ainsi ses seins qui remplissent bien un soutien gorge à balconnets en coton rose. Ses tétons pointent à travers l'étoffe.
Matthieu à son tour, dévoile le buste quasiment nu de Véro en retirant le pull de son amie. Un petit passage dans le dos et les 2 soutifs tombent en même temps dévoilant des poitrines fort différentes. Déjà que sur la plage j'avais été troublé par les seins de Véro, là, l'érotisme de la situation aidant, je bande très fort. Marion sent mon excitation et me glisse à l'oreille :
"Tu veux que je te libère un peu, mon Amour?"
Sans attendre ma réponse, elle pose une main sur mon jean et commence à ouvrir les boutons dévoilant mon slip gonflé. Elle baisse doucement mon petit slip et dégage mon sexe gonflé. Véro le fixe avec attention provoquant la jalousie de Matthieu qui retire le sien rapidement.
Les 2 filles prennent chacune le sexe de leur amant en main en le caressant doucement.
Matthieu caresse doucement les seins de Véro alors que personnellement, je commence à déboutonner le pantalon de Marion et à le faire glisser, dévoilant ainsi sa petite culotte blanche. Elle finit de son côté à me déshabiller et nous nous retrouvons tous les 2 nus, Marion ne possédant plus que sa petite culotte qui ne cache rien de ses fesses serrées. Je caresse ses cuisses, ses fesses, ma main glisse doucement entre ses cuisses qui s'écartent au passage me laissant rencontrer la moiteur de son entre cuisse. Visiblement, la situation lui plait.
A côté de nous, Véro commence à se baisser et enbouche la queue de Matthieu profondément. Je continues à carresser la fente de Marion à travers l'étoffe déjà moite. Je sens ses lèvres s'ouvrir, mon doigt pénètre dans le vagin entrainant avec lui le tissu qui pénètre un peu et se mouille beaucoup. Marion gémit accompagnant ainsi les rales de Matthieu.
Les caresses bucales de Véro font rapidement leur effet et je sens que Matthieu est proche de l'excitation finale. Pour accélerer les choses, j'écarte la culotte de Marion, dévoilant ainsi son sexe trempé et poilu. Voyant ça, Matthieu gémit encore plus fort et repousse Véro.
"Non, je veux pas jouir si vite" crie t il.
Peine perdue, le sperme arrive et le premier jet atteint les seins de Véro puis dégouline sur le ventre. Deux autres jets violents se produisent arrosant le visage de Véro et son cou. Puis le flot s'ammenuise un peu, dégoulinant simplement sur le tuyau de Matthieu. Voir ainsi Véro souillée nous met tous les 2 dans un état d'excitation avancé et on accélère le mouvement de nos doigts sur le sexe de l'autre. Matthieu s'écrie alors :"Vite, Véro, enlève ton pantalon, ça va le tacher" Effectivement le sperme arrive dangeureusement vers la ceinture. Véro retire donc rapidement son pantalon et apparaît en petite culotte en dentelle.
Le sperme atteint rapidement la culotte, mais visiblement, ça ne la gène pas. De grandes traces blanches sillonnent son ventre, son cou, ses seins. Elle essaye d'en lécher sur le visage. Marion me regarde et me murmure "Tu sais, cette nuit, après ce qu'on a fait, j'ai gouté le sperme qu'il y avait sur mon ventre. Je crois que j'y prends goût". Je lui souris, enfonçant viollement un doigt dans sa fente trempée. Je retire parallèlement sa culotte que je mets entre Matthieu et nous. Comme une invitation. Matthieu, l'ayant compris comme ça, s'en saisit et la porte à sa figure, la sentant. Marion est très génée, mais mes doigts dans son sexe se chargent de la rappeller à son plaisir. Je la sens proche de l'orgasme d'ailleurs. Sous l'effet de la culotte, le sexe de Matthieu retrouve rapidement sa rigidité.
Marion gémit de plus en plus sous mes doigts, je sens les contractions de son vagin et sa mouille qui dégouline le long des mes doigts.
Ses gémissements remplissent la tente. Heureusement que nous sommes quasiment seuls dans ce camping! Mon gland rouge commence à luire et ma bite gonfle toujours plus. Matthieu de nouveau d'attaque finit de déshabiller son amie et nous dévoile ainsi sa chatte dont les poils chatains ont été visiblement taillés et épilés dans certaines zones. Après avoir caressé l'entrejambede Véro, il sourit triomphant.
"Le sperme te plait, mon amour, tu es trempée."
Véro hésite entre le sourire et la honte, mais voyant que nous ne sommes choqués du tout par l'affirmation de son amant, elle sourit et repond tendrement à Matthieu qu'il sait très bien que son foutre la fait chavirer. Soudainement, je renverse Marion sur le dos. Surprise elle pousse un petit cri mais se retrouve sur le dos, les jambes en l'air. Juste le passage pour que je puisse m'y glisser et commencer à approcher mon sexe de son minou poisseux de plaisir. La pénétration se fait d'ailleurs très facilement dans le conduit étroit mais lubrifié. Voyant ça, Matthieu prend Véro à son tour en levrette, la figure de Véro n'étant qu'à quelques centimètres des hanches de Marion.
Je sens même son souffle sur ma main lorsqu'elle gémit, ses petits seins ballottant sous elle. Cette vue m'excite encore plus et j'accélère provoquant très rapidement l'orgasme de Marion, dont les muscles se tendent et dont la jouissance trempe mon sexe conquérant. Excité par ce flot parcourant mon sexe, j'active de plus bel mon pistonage et rapidement, je sens le jus monté dans mon sexe.
Me souvenant des paroles de Marion lors de l'éjaculation de Matthieu, je me retire du sexe humide et gicle abondamment sur le ventre, les seins et la figure de ma nouvelle petite amie, arrosant aussi bien ses cheveux frisés que ses poils bruns du pubis. Rapidement, elle reprend ses esprits et commence à lécher le nectar sur son visage, près de ses lèvres rouges. Matthieu et Véro ne sont pas loin non plus de la jouissance et Matthieu se retire à son tour et s'approche de Marion
- "J'ai entendu ce que tu disais à Thierry tout à l'heure. Je vais t'en donner plus"
Et il finit par gicler sur sa figure, sur ses seins et finalement sur sa chatte des jets d'une incroyable précision, seul le dernier débordant un peu sur ses cuisses blanches. Les deux foutres ainsi mélangés sur son corps, Marion est aux anges. Mais Véro est moins heureuse d'avoir été spoliée de sa dose de foutre et demande réparation. Sans se dégonfler, Matthieu lui propose de le prendre sur le corps de Marion pour l'aider à tout récupérer. Aussi bien Véro que Marion semblent surprises par cette proposition nouvelle pour elles, mais Véro s'agenouille au dessus de Marion et commence à lécher le sperme sur son ventre.
Petit à petit, s'habituant au goût et au geste, elle descend et atteint les poils pubiens, qu'après un temps d'hésitation, elle comence à nettoyer. Les longs poils bruns de Marion ont bien reçu le sperme et il a pénétré parfois profond dans la toison. Véro n'hésite pas à enfoncer sa langue loin dans la toison pour en retirer du sperme. Mais au moment de nettoyer plus bas, elle hésite et se relève en disant qu'elle ne veut pas aller plus loin. Marion fait un peu la moue mais finit d'ingurgiter le sperme qui restait sur ses seins. La fatigue se fait sentir et d'un commun accord, on décide de rejoindre notre tente pour dormir un peu. Après avoir fini de nettoyer Marion du sperme qu'il restait (en particulier, là où Véro ne voulait pas aller), on s'endort, nus, heureux...
Malheureusement, les jours suivants, le sort n'est guère favorable à des ébats collectifs. Les campings sont soit petits, soit bien remplis. Et on approche de la fin du séjour, un peu frustré de ne pas avoir pu renouveler l'expérience. Dans moins d'une semaine, on doit rentrer. En plus, la météo est plus que maussade et les infos n'annoncent pas d'amélioration. Bref, le moral est bas dans le groupe. Un matin, dans un camping toujours aussi plein, après une nuit où Marion et moi n'avons pu qu'échanger quelques caresses, Marion prend la parole :
-"Bon, y en marre de ce temps, de ces campings où on ne peut rien faire sans que les voisins le sachent. Je vous propose de rentrer chez nous."
Pas d'enthousiasme débordant sur les visages des 2 autres.
-"Enfin, rentrer chez moi. Mes parents sont en vacances encore 3 semaines et la maison est libre. On sera mieux là bas, non? " ajoute t elle avec un petit sourire coquin. Cette fois, l'accord est unanime, chacun à ses fantasmes.


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